La Ligue nationale de rugby a révélé le bilan économique du jeu professionnel français pour la saison 2018-2019, qui montre que le rugby a généré 1,252 milliard d’euros d’activité économique en France.
La Ligue nationale de rugby (LNR) a publié des statistiques encourageantes sur l’impact économique du rugby professionnel français lors de la saison 2018-2019, période de préoccupation sanitaire. Compte tenu des énormes ramifications de l’épidémie de Covid-19 sur tous les secteurs économiques, y compris le sport professionnel, des montants qui devraient clairement diminuer dans les bilans ultérieurs.
Une nouvelle étude a révélé que le rugby professionnel a généré 1,252 milliard d’euros d’activité économique pour les territoires français en 2018-2019, ce qui le place en deuxième position derrière le football en termes de contributions économiques.
Les résultats les plus notables de l’étude sont les suivants : Il a été révélé que 4 072 emplois ont été soutenus, dont 2 279 directement (dans les clubs ou à la Ligue) et 1 793 indirectement (activités liées aux matchs comme l’hébergement, la restauration, le transport). Au cours de la saison.
Un modèle économique qui n’est plus aussi solide ou fiable qu’avant
« Le rugby est le sport idéal pour nouer des amitiés et être social », a déclaré Paul Goze, président de la LNR. Il contribue également de manière significative au bien-être économique et social des lieux. Les clubs sont généralement le cœur sportif d’une ville et d’une région, ainsi qu’un acteur économique important. Parce qu’il repose sur la présence de fans et de partenaires les jours de match, ce modèle économique est très vulnérable en période de ralentissement économique.
Les salaires des employés, ainsi que les coûts liés au rugby professionnel (la LNR et les clubs), totalisent 113,4 millions d’euros de contributions fiscales et sociales (impôts, taxes, cotisations de sécurité sociale) dont 92,3 millions d’euros consacrés aux charges sociales.